Du polycarbonate pour votre projet de bricolage ? Cette option n’est pas toujours la plus appropriée

Le polycarbonate ne résiste pas aux éraflures

Les plaques ondulées en polycarbonate possèdent une surface relativement douce, ce qui les rend vulnérables aux éraflures. Cette caractéristique ne pose pas uniquement problème vis-à-vis des influences extérieures comme les tempêtes, durant lesquelles des branches ou d’autres éléments peuvent tomber sur votre toiture. L’entretien et le nettoyage nécessitent également un soin adéquat et des produits adaptés pour prévenir les dommages.

Vous souhaitez profiter d’un intérieur silencieux ? Évitez le polycarbonate

Les plaques en polycarbonate se rétractent par temps froid et se dilatent quand il fait chaud. Si ce phénomène n’est pas un problème en soi, il entraîne inévitablement des grincements. Demandez-vous alors au préalable si vous serez capable de les supporter.

Dépôts verts

Vous décidez de miser sur des plaques ondulées en polycarbonate ? Vous devrez sûrement, à un moment ou un autre, affronter l’humidité et la condensation, ce qui peut générer à long terme la formation de dépôts verts sur vos tôles ondulées. Il est heureusement possible de les éliminer facilement en utilisant les produits adéquats.

Les plaques ondulées bitumineuses, une alternative abordable

Outre les plaques en polycarbonate, il existe bien sûr d’autres options en matière de toiture. Une tôle ondulée bitumineuse, par exemple, offre une multitude d’avantages. C’est un excellent choix pour l’étanchement économique d’une grange, d’un carport, d’un abri de jardins, etc.

Ce matériau présente de plus une grande solidité et une durée de vie de 10 ans. Il ne subit donc que peu d’éraflures ou autres dommages, un risque beaucoup plus élevé avec le polycarbonate. Vous constatez, malgré tout, de légères détériorations ? Celles-ci se résorbent aisément et il n’est pas nécessaire de remplacer immédiatement toute la toiture.

Autre atout majeur : les plaques ondulées en bitume s’entretiennent très facilement. La poussière qui s’y accumule s’élimine généralement d’elle-même lors d’une averse. La probabilité de devoir combattre les dépôts verts s’en trouve extrêmement réduite par rapport aux tôles en polycarbonate.

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